Jazz déplumé aux allures ailées qui dévoile ses migrations impressionnistes.
Entre ses prises de bec et un lyrisme de crécerelle, L’oiseau ravage étourdit et libère un plumage sauvage.
Du haut, il plonge.
Siffleur de rage, il racle le roc en jasant tel l’étourneau.
Bête à plumes, il s’élève dans les vents contraires, se joue du souffle et du vertige.
Il plane, il sent, il graille, il chute.
Le silence, le cri.
L’oiseau ravage surprend parce qu’il est surpris.
Plus d’infos : https://www.loiseauravage.fr